Cinéma : 6 courts métrages

Participant activement à l’offre culturelle sur son village, l’association bellenavoise Picus offre aux habitants une première séance de courts métrages vendredi 17 octobre à la salle socioculturelle à 20 heures.

Six courts métrages, primés en 2025, en version originale sous titrés en français seront présentés. « Et s’ils bombardaient ici ce soir ? », de Samir Syriani, Liban, fiction. Un couple de Libanais, passent une nuit blanche dans l'angoisse et la crainte qu'un bombardement de l'armée israélienne vienne faire éclater les parois vitrées de leur habitation. « Généalogie de la violence », de Mohamed Bourouissa, France, fiction expérimentale. Interpelle? par des policiers alors qu’il est en voiture avec une amie, un garçon racisé ? subit un contrôle d’identité ? de routine avec une palpation méthodique. « Mort d’un acteur », de Ambroise Rateau, France, fiction. Philippe Rebbot est annoncé mort par les médias et les réseaux sociaux, alors qu’il va très bien. « Ni dieu ni père » de Paul Kermarec, France, docu-fiction. Ce film explore la relation intime qu'un jeune homme entretient avec Internet. Alors que l'absence de figure paternelle l'a poussé à chercher des réponses, il trouve en Google un mentor inattendu brouillant les frontières entre réel et virtuel. « L’homme qui ne se taisait pas », de Nebojša Slijepevi, Croatie, France, Bulgarie, fiction. En février 1993, en Bosnie-Herzégovine, un train en provenance de Belgrade est arrêté par un groupe paramilitaire. Alors qu’ils arrêtent des civils innocents, un seul homme sur les cinq-cents passagers ose s’interposer. Présenté en compétition internationale au festival 2025, palme d’or au festival de Cannes 2024. « Beurk ! » de Loïc Espuche, France, fiction animée. Beurk ! Les bisous sur la bouche, c’est dégoûtant. Sauf qu’en secret, le petit Léo a très envie d’essayer. Durée 91 min. Public adulte. Gratuit.